bonpote n’aime pas penser que … homo n’a pas un cerveau cablé pour l’écologie

Personnellement, si pour arriver à des objectifs mondiaux et significatifs de réduction des Gaz qui conduisent au réchaufffement climatique, sans guerre, on (G20,ONU etc) dise qu’il faille réduire la publicité,imposer un contrôle de la communication médiatico-marketing des industrielles (à l’instar de µ) …

Je prends

La faute à notre cerveau, vraiment ? Les erreurs du Bug humain de S. Bohler

« Nous verrons ici que cette thèse est trop simpliste, ce défaut l’amenant de facto à être utilisée dans des discours immobilistes pour se dédouaner ou maintenir le statu quo. Elle rappelle également l’excuse numéro 2 de l’inaction climatique : le changement serait contre-nature. »

–> activiste bon pote, plutot assoiffé d’influence préfére le GreenWashing, plutot que de réduire le besoin consumériste de l’Humanité? C’est normal l’Occident est plein d’influenceur depuis au moins 100 ans. Mais c’est trés bien décrit dans le bouquin, le politique est impuissant à résoudre ce probléme parce que cela ne conduira jamais à la sobriété et de la décroissance.

« ils ne permettent pas de comprendre notre dépendance à la voiture. »

–> amener sa famille en weekend, tous les weekends, à plus de 800 km de son domicile, avec un confort maintenu, en s’affranchissant de la fatigue de transport c’est directement reptilien & un marqueur d’aisance sociale ! De même que souhaitez partir quand on veut, parce qu’on a une voiture, de son travail etc …. c’est totalement sociéto reptilien.

µ :  » La publicité subliminale est une figure qui a toujours été expressément interdite dans la réglementation publicitaire, en partie en raison du grand danger qu’elle représente pour les consommateurs de recevoir des impacts auxquels on ne peut s’opposer car ils sont imperceptibles, et qui peuvent altérer leur libre …21 mars 2023« 

L’Enjeu c’est bien, comment réduire les émissions mondiales en considérant le multi-culturalisme et la géopolitique?

Le constat premier du livre est « il ne se passe aucun changement sociétal global, pourquoi ? »

La thése de l’essai critiqué par bonpote, a plusieurs connexions avec des news & des pré-analyses de ce blog. Cet essai attaque un argument individuel (commun à l’humanité) pour expliquer l’inaction gouvernementale. Il manque une explication de la liaison comportement vers l’émission globale, mais c’est presque hors-sujet. Cette liaison cela sera nommé, la consommation (capitalistique) mondiale, plus de flux, plus d’usine, plus de déchets, plus d’objets non durables etc.

Face à l’explosion d’objets disponibles, le mix. énergétique d’un pays comme la France fait trés riquiqui.

La base des émissions mondiales c’est le mode de vie occidental et la mise à niveau de la Chine. L’objectif d’ici 5 ans cela serait l’inflexion vers la baisse des émissions. Limiter les flux, par décision intergouvernemental, légale, parait irréaliste. Peut étre par catastrophe naturelle mais peut on le souhaiter ?

Un ou des conflits réduirait il les émissions ? je n’en suis pas vraiment convaincu.

Modifier le comportement des consommateurs parait une bonne approche, ceci d’autant que les « industriels » se sont bien distingués pour notre époque, au niveau corruption, non considération de la vie etc.

Cet article a été publié dans Théories - Penser le monde. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

4 commentaires pour bonpote n’aime pas penser que … homo n’a pas un cerveau cablé pour l’écologie

  1. boder dit :

    https://www.lemonde.fr/technologies/article/2009/01/12/une-recherche-google-a-un-cout-energetique_1140651_651865.html

    « Deux recherches sur Google généreraient autant de CO2 qu’une tasse d’eau portée à ébullition »

    J’aime

  2. boder dit :

    « Mais pour sauver la planète du réchauffement climatique, il ne faut pas non plus se contenter de faire passer la lutte contre le réchauffement avant la justice entre les hommes, il faut établir la justice économique et cosmique entre les hommes. Il faut un égal accès aux ressources du monde, que les hommes aient le sentiment autant d’une justice entre eux que d’une préservation du monde. Si l’on croit que l’on va imposer à des milliards d’hommes de ne pas se nourrir à leur faim et circuler comme ils veulent, et de ne pas travailler comme ils veulent, on n’a aucune chance d’y arriver. De même pour les catastrophes techniques, la transparence et la démocratie sont des enjeux majeurs. Donc la justice est toujours un élément de réponse à la catastrophe. Répondre à la catastrophe, c’est aussi préserver la justice ; et c’est en préservant la justice qu’on répond à la catastrophe. »

    « La menace de la disparition pure et simple implique une hiérarchie des urgences qui est sécuritaire par nature. L’erreur serait de croire que la préservation du monde… implique seulement une forme de quiétisme, un moratoire sur les avancées scientifiques et techniques. En réalité, les politiques de la catastrophe ne misent pas tant sur un retour à la nature …que sur un activisme de tous les instants. On ne se contente pas de défaire ce qui a été fait, encore faut-il trouver des substituts. C’est exemplairement le cas chez les adversaires du nucléaire qui ont encore à charge de trouver des alternatives crédibles à la production d’énergie. Comment faire si l’on ne peut (ou ne veut) pas revenir aux énergies fossiles et si l’on ne croit pas que les éoliennes suffiront à couvrir les besoins ? La seule solution est de redéfinir drastiquement les besoins, ce qui peut se défendre, mais à condition que l’on énonce clairement quel type de société on promeut par là. »

    https://www.cairn.info/revue-archives-de-politique-criminelle-2017-1-page-215.htm

    J’aime

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.